Voici la suite de mon rêve. Si vous n'avez pas lu la première partie, cliquer ICI
... Le lendemain matin, je reçus la visite d’un gros chat gris et hirsute surnommé "n’a qu’une dent" en raison d’une canine qu’il avait perdue lors d’une guerre fratricide. Le matou en question, caïd des matouni (un gang de chats des rues de la ville voisine), régnait en maître incontesté sur le marché de la sardine et souhaitait s’associer avec moi, histoire de se tailler une bonne part dans le gâteau de ma renommée.
Trop orgueilleuse, je refusai son offre et continuai de mener mes affaires en solitaire. Bien mal m’en pris. "N’a qu’une dent" entreprit de se venger de l’affront qu’il avait essuyé lors de sa visite aux entreprises Wena. Il corrompit Couiny (ma souris W chef d’équipe) en lui offrant un compte en gruyère à vie en échange de bactéries à glisser dans les boîtes de thon pour contaminer la production. Celle-ci accepta sans l’ombre d’une hésitation et quelques semaines plus tard, l’hôpital de la ville prit en charge les premières victimes des boîtes "petite Wena", tombées dans un coma profond.
"N’a qu’une dent" mit la police sur la piste et celle-ci ne traina pas pour venir m’arrêter. Mais il était trop tard, j’étais déjà loin. Je m’étais enfuie la nuit même où le scandale avait éclaté. J’étais innocente et l’idée même de moisir en prison, dans le froid, l’humidité, sans plaid, ni croquettes, m’était insupportable.
Pendant que j’étais en cavale, le nombre de personnes victimes de la consommation des boîtes petite Wena n’avait cessé d’augmenté et ce, bien que la production fut stoppée.
Ma tête fut mise à prix et les polices de nombreux pays me recherchaient activement.
Elles avaient même engagé des profilers qui examinaient sans relâche mon portrait à la loupe afin de trouver la faille psychologique qui me perdrait.
Je trouvai refuge dans une bâtisse abandonnée en pleine nature. Livrée à mon triste sort, je tentai de survivre, rongée par la tristesse.
Deux longs mois passèrent pendant lesquels l’envie de savoir ce qu’était devenue mon entreprise, avait grandi un peu plus chaque jour jusqu’à devenir intolérable.
Un matin, n’y tenant plus, je décidai de revenir sur les lieux.
Arrivée sur place, je ne pus y croire ! Mon usine avait brûlé !
Le cœur brisé, je m’aventurai à l’intérieur, dans l’espoir de trouver quelque chose qui aurait pu échapper à l’incendie, mais je ne trouvai rien, tout avait été réduit en cendres.
Accablée, je m’effondrai sur moi-même, ignorant la sirène des voitures de la police qui n’avait jamais cessé de surveiller les lieux. Cela m’était égal, je préférai en finir …
Derrière les barreaux de ma cellule, j’attendais, résignée, que l’on m’apporte ma ration de pain qui m’aiderait à passer la journée. Le temps n’avait plus d’importance, le matin poussait le soir et la nuit, le matin. Je n’espérais plus rien.
Pendant que j’étais en cavale, le nombre de personnes victimes de la consommation des boîtes petite Wena n’avait cessé d’augmenté et ce, bien que la production fut stoppée.
Ma tête fut mise à prix et les polices de nombreux pays me recherchaient activement.
Elles avaient même engagé des profilers qui examinaient sans relâche mon portrait à la loupe afin de trouver la faille psychologique qui me perdrait.
Je trouvai refuge dans une bâtisse abandonnée en pleine nature. Livrée à mon triste sort, je tentai de survivre, rongée par la tristesse.
Deux longs mois passèrent pendant lesquels l’envie de savoir ce qu’était devenue mon entreprise, avait grandi un peu plus chaque jour jusqu’à devenir intolérable.
Un matin, n’y tenant plus, je décidai de revenir sur les lieux.
Arrivée sur place, je ne pus y croire ! Mon usine avait brûlé !
Le cœur brisé, je m’aventurai à l’intérieur, dans l’espoir de trouver quelque chose qui aurait pu échapper à l’incendie, mais je ne trouvai rien, tout avait été réduit en cendres.
Accablée, je m’effondrai sur moi-même, ignorant la sirène des voitures de la police qui n’avait jamais cessé de surveiller les lieux. Cela m’était égal, je préférai en finir …
Derrière les barreaux de ma cellule, j’attendais, résignée, que l’on m’apporte ma ration de pain qui m’aiderait à passer la journée. Le temps n’avait plus d’importance, le matin poussait le soir et la nuit, le matin. Je n’espérais plus rien.
C’est alors que j’entendis un bruit
de croquettes tomber dans un bol. Je devais halluciner pensais-je et je secouai
la tête afin de recouvrer mes esprits. Je me rendis compte alors que mes yeux étaient
fermés et que j’avais peine à les ouvrir. Après plusieurs tentatives, j’y
parvins et mon regard se posa sur le papier peint bleu ciel de la chambre
d’Indy.
J’avais rêvé !!
Le temps de me remettre de mes
émotions, je descendis de mon arbre pour aller dans la cuisine, guidée par la
voix doucereuse de mon fan préféré.
Et bien ma belle quel rêve! J'adores lire tes aventures qui me remonte bien le moral quand il n'est pas au top!
RépondreSupprimerDoudouces ma merveilleuse chatounette!
PS; J'ai vu la photo de tes parents et comprends encore mieux que tu sois aussi jolie!
Je suis bien contente Marie-Noëlle, cela me fait très plaisir. Merci pour ces gentils compliments. Gros ronrons et bises d'Indy.
SupprimerAinda bem que é apenas uma historinha, não é mesmo, linda Eirwena? Você está maravilhosa nas fotos!!
RépondreSupprimerbeijinhos,
Lígia e =^^=
Merci, c'est gentil. Oui, heureusement ce n'était qu'un très mauvais rêve, je suis bien contente d'être réveillée. Bises.
SupprimerOh la la ! Quel cauchemar ! Mais qu'est-ce que tu as mange la veille au soir ? Un boite de thon perimee ?
RépondreSupprimerPlein de ronrons pour te consoler !
Non, rien de tout ça, mais peut-être un peu stresser à l'idée d'un voyage qui ne serait tarder. Gros ronrons.
SupprimerHeureusement ce n'était qu'un rêve, un mauvais rêve. On est bien dans son chez soit adulé par ses bipèdes, avec de temps en temps ... un peu de thon !
RépondreSupprimerNat à Chat elle trouve que cette histoire est géniale, plein de suspens et les photos.....Bravo à Indy.
Des ronrons pour l'aventurière. Et bises à l'artiste pleine de créativité.
Hisia.
Oui Hisia, tu l'as dit : comme on est bien chez soi, avec un bipède aux petits soins.
SupprimerMerci Nat à Chat pour ces gentils compliments. Gros ronrons à vous deux et bises d'Indy.
Pas cool 'N'a qu'une dent". Ouf, n'était que mauvais rêve. Quelle jolie languette !
RépondreSupprimerGraous graous, bisous.
Non, pas cool du tout, mais ce n'était qu'un vilain cauchemar. Gros ronrons les copains, bises d'Indy.
SupprimerOn aime bien la fin, ça termine bien, oh les images sont impressionnantes, bravo.
RépondreSupprimerbisous
Laurence Opale et SOnye
Merci Laurence, Opale et Sonye, oui heureusement tout est bien qui finit bien ! Ronrons.
Supprimerj'ai bien aimé les photos du 2eme récit heureusement tout cela n’était qu'un mauvais rêve Eirwena et le doux bruit des croquettes t'as permis d'en sortir !
RépondreSupprimerremet toi vite
doux ronrons à toi bises Indy
Merci Doly. Le bruit des croquettes qui tombent est la meilleure musique qui soit. Gros ronrons.
SupprimerOh la la...quel cauchemard ! Allez, double ration de croquettes, et séance de câlins pour te remettre de ces émotions.
RépondreSupprimerOn espère que ton prochain rêcve sera plus rose...une histoire d'amour peut etre, ou de trésor trouvé...tu nous raconteras?
Plein de caresses à toi Eirwena.
et merci Indy !
J'espère bien que mon prochain rêve, si je m'en souviens, sera moins effrayant et sombre que celui là. C'est jamais plaisant de faire des cauchemars et je promets de le raconter. Ronrons et bises d'Indy.
SupprimerOh la la, ma Poussinette .... J'en suis toute retournée !
RépondreSupprimerMais pourquoi fait tu des "cauchemars" comme chat ??? Toi trainée dans la boue, en cavale, enfermée, déprimée ...
Allez ma petite Puce, il faut que la prochaine fois, tu nous fasses un merveilleux rêve de Princesse.
Plein de bisous à toi et ton Fan Indy
Chantaloup
J'ai dû trop mangé avant de m'endormir, comme souvent, c'est pourquoi mon rêve a viré au cauchemar. Gros ronrons et bises d'Indy.
Supprimer