Kikou ! Indy et moi sommes de retour à la maison. Quel soulagement !
Non, parce que si le voyage aller a été pénible, ce n'était rien en comparaison avec celui du retour. La fourrière* !
Certes, notre périple, amorcé à dix heures du matin, ne dura que neuf heures au lieu de douze (quel réconfort !), mais sans aucune attente entre chaque vol et par conséquent, je restai enfermée dans ma cage de transport tout le long du trajet.
Pour être tout à fait honnête, cela ne fut pas pour me déplaire car j'eus le mal de l'air pendant tout le voyage. J'étais tellement indisposée et mal en point que je fis peur à mon ombre qui ne me reconnaissait plus. Bon, j'exagère un brin de catnip, mais j'ai vraiment, vraiment, vraiment été malade.
Tout a commencé à bord du premier oiseau qui, je suppose, vexé de transporter un représentant de la gente féline, battit des ailes furieusement, plongea, puis remonta plusieurs fois dans les airs et ce, jusqu'à l'arrivée de notre première destination.
Les deux autres oiseaux adoptèrent le même comportement, par solidarité sans doute et nous malmenèrent sans ménagement pendant de nombreuses heures.
Alors que nous volions dans le ciel et que je bavais, bavais et bavais encore, l'estomac retourné, les pattes tremblotantes et la tête qui n'en finissait pas de tourner, une chose me réconforta : Indy était aussi malade que moi et ce fut vraiment un soulagement de savoir mon bipède préféré embarqué avec moi dans la même tourmente.
Petite vengeance : je ruinai un lot important de serviettes en papier dont le stock fut considérablement réduit par mes soins.
Finalement, à vingt trois heures trente nous arrivâmes enfin à Saint-Pétersbourg après avoir fait escale à Athènes, puis à Frankfort.
En sortant du bâtiment, la météo locale nous accueillit comme il se doit avec un froid à congeler un pingouin : - 22 degrés (bien en dessous des 19 degrés crétois) et nous nous précipitâmes dans un cafard à roulettes pour rejoindre notre habitat.
A peine arrivée, Indy me fit sortir de ma cage de transport, me donna à boire et considérant mon état de fatigue, eut la délicatesse de me servir mes croquettes dans mon bol (et non dans ma boule). Merci Indy.
Après avoir fait le plein de nourriture et calé mon estomac, je fis une rapide inspection des lieux et rejoignis mon hamac pour la nuit.
Le lendemain matin, je ressentis comme jamais la fatigue du voyage et le manque de sommeil. J'étais de très mauvais poils et n'avais aucune envie d'avoir un bipède sur le dos.
Aussi, après un re-marquage territorial expéditif, remontai-je sur mon arbre afin de rattraper toutes les siestes manquées.
Indy - Eh bien Eirwena, tu n'ouvres pas tes cadeaux ?
Eirwena - Non, je vais me coucher ! Alors ne me parle pas, ne me touche pas, ne fais aucun bruit, est-ce clair ?
Indy - Euh ... oui ... bon, à tout à l'heure.
Eirwena - C'est cela oui, si je suis d'humeur ...
En fin d'après-midi, je commençai à récupérer et changeai de couchage afin d'entamer une longue phase de repos en compagnie de Couiny, mon jouet favori.
Indy - Eirwena ?
Eirwena - Quoi ? Il y a un problème ? On doit repartir ?
Indy - Mais non, vient manger du thon, cela va te requinquer.
Eirwena - Du THON ? J'arriveeeeeee !
Après avoir avalé les miettes de thon en deux bonds trois rebonds, j'entrepris une sieste digestif sur le sofa du salon et savourai enfin le plaisir d'être de retour chez moi.
Indy - Euh ... Eirwena ?
Eirwena - Hmm ?
Indy - Tu ne veux pas ouvrir tes cadeaux ?
Eirwena - Plus tard Indy, plus tard, je suis en osmose avec le canapé et je plane dans d'autres sphères inconnues du monde bipédien ...
Fourrière* : enfer en langage eirwenesque.
Indy et moi sommes contentes de vous retrouver et vous souhaitons à tous un très bon week-end.
Nous vous donnons rendez-vous lundi pour l'ouverture des cadeaux.
Aussi, après un re-marquage territorial expéditif, remontai-je sur mon arbre afin de rattraper toutes les siestes manquées.
Indy - Eh bien Eirwena, tu n'ouvres pas tes cadeaux ?
Eirwena - Non, je vais me coucher ! Alors ne me parle pas, ne me touche pas, ne fais aucun bruit, est-ce clair ?
Indy - Euh ... oui ... bon, à tout à l'heure.
Eirwena - C'est cela oui, si je suis d'humeur ...
En fin d'après-midi, je commençai à récupérer et changeai de couchage afin d'entamer une longue phase de repos en compagnie de Couiny, mon jouet favori.
Indy - Eirwena ?
Eirwena - Quoi ? Il y a un problème ? On doit repartir ?
Indy - Mais non, vient manger du thon, cela va te requinquer.
Eirwena - Du THON ? J'arriveeeeeee !
Après avoir avalé les miettes de thon en deux bonds trois rebonds, j'entrepris une sieste digestif sur le sofa du salon et savourai enfin le plaisir d'être de retour chez moi.
Indy - Euh ... Eirwena ?
Eirwena - Hmm ?
Indy - Tu ne veux pas ouvrir tes cadeaux ?
Eirwena - Plus tard Indy, plus tard, je suis en osmose avec le canapé et je plane dans d'autres sphères inconnues du monde bipédien ...
Fourrière* : enfer en langage eirwenesque.
Indy et moi sommes contentes de vous retrouver et vous souhaitons à tous un très bon week-end.
Nous vous donnons rendez-vous lundi pour l'ouverture des cadeaux.
Bon retour chez vous !
RépondreSupprimerEuh le zoizo qui bat des ailes, ça n'aurait pas plu du tout à notre Chatdesîles qui n'aime pas prendre l'avion ... tu as été bien courageuse, Eirwena !
Plein de ronrons de réconfort !
Merci les copinous, oui j'ai été courageuse malgré tout. Gros ronrons.
SupprimerMa pauvre chacopine! !! Indy n'a pas bien choisit le jour du retour! Et les -22 à congeler un pingouin contre les 19 de Crête ! Non non sûr Indy n'a pas bien choisi du tout!! Eh bien le fait que ton fan bipède fut malade comme toi, te venge juste un peu.et espérons que cela lui serve de leçon!
RépondreSupprimerRécupère au mieux et raconte nous tes cadeaux on attend nous!
Gratuit les amicales et bise à Indy
Oui, de savoir que nous étions deux à souffrir, m'a beaucoup aidé ;) Enfin, c'est du passé maintenant. Gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerMais quelle horreur! Comment peut-on survivre à cela ? Nous on dit que cela n'est possible qu'avec une prise prolongée de thon ! 41 jours = Un jour pour un degré d'amplitude thermique , ça nous paraît la posologie minimale!
RépondreSupprimerMoustachouilles compatissantes et ronrons de réconfort.
Zoé te fait des caresses et des bises à Indy .
Oui, ce fut vraiment éprouvant ! Heureusement que j'ai eu des compensations en rentrant à la maison. Gros ronrons et bises d'Indy.
SupprimerEnfin chez toi, ahhh, home sweet home !
RépondreSupprimerQuelle aventure ma pauvre wena, avec, croquettes sur le paté, des oiseaux de fer bien récalcitrant !
Tu as été courageuse, et tu métrites bien un bon repos ! Les siestes perdues, il faut les rattraper de toute urgence, on est d'accord avec toi !
Un chat reposé en vaut deux, surtout pour les bêtises, hein, Wena !
Nous vous souaitons à toi et ta Indy de profiter au maximum de votre foyer retrouvé, et de bien récupérer de ce voyage "fourrieresque" !
Gros ronrons !
C'est comme je vous le miaule les copinous, ce fut la fourrière ! Enfin, c'est du passé et les siestes à répétition ont vite eu fait de me remettre d'aplomb. Merci pour le soutien, gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerOn aurait pas survécu à un tel voyage nous... quelle horreur!
RépondreSupprimerBon retour chez toi et surtout bon repos!
Ronrons!!
Merci les copines, gros ronrons à vous deux.
SupprimerBon retour chez vous et surtout bon repos après toutes ces aventures ! Pas cool d'être malade, moi je le suis déjà quand ma bipède m'emmène exceptionnellement maintenant dans son cafard à roulettes jusque chez le véto et le trajet ne dure que 5 minutes alors je n'imagine même pas comment tu as dû "souffrir" pendant toutes ces longues heures dans les oiseaux en fer ! Ronrons de Samba et bises de Véronique
RépondreSupprimerOui, ce n'est vraiment pas cool d'être malade en effet. C'était la première fois que ça m'arrivait et j'espère la dernière. Gros ronrons Samba et bises d'Indy à Véronique.
SupprimerQuel cauchemar ! Nous ne savons pas comment tu fais pour survivre à des trucs pareils ! Nous sommes bien contents de te savoir saine et sauve à la maison ! Ronrons
RépondreSupprimerMerci Zorro et Loupi, oui je demande comment j'ai fait pour supporter tout cela. Gros ronrons.
Supprimerj'en suis toute retournée de ce que t'as fait vivre Indy!!!!
RépondreSupprimerrepose toi bien
doux ronrons
Merci pour ton soutien Doly, gros ronrons.
SupprimerJ'en ai l'estomac qui va pas bien du tout rien que d'y penser Eirwena. C'est vraiment pas super comme voyage. D'ailleurs aucun voyage n'est super pour un chat. J'espère ne jamais voyager et ... ne jamais connaitre une température de -22°C. Je ne suis pas équipée pour ça !
RépondreSupprimerRepose toi bien.
On est impatientes de voir tes cadeaux.
Plein de ronrons.
PS de Nat à Chat : J'adore vraiment la photo de la demoiselle couchée dans le hamac. La photo est belle et Eirwena est craquante au possible.
Bises Indy
Eirwena - Oui, les voyages ne sont pas faits pour nous les chats qui préférons de loin voyager de chez nous. Gros ronrons.
SupprimerIndy - Merci Nat à Chat, bisous.
Pauvre petite minette, tu as étè malade!
RépondreSupprimerTu mérites une semaine de thon, rien que pour le courage dont tu as fait preuve!
Rhôô c'est gentil, merci. J'en ai déjà eu quelques miettes, c'est déjà ça ;) Gros ronrons.
Supprimeroh tu as été malade pauvre tite Eirwena, et ce doit être long, c'est bon d'être retour maison.
RépondreSupprimergros ronrons d'Opale et SOnye
bisous Indy, bon dimanche
Oui, heureusement ce n'est plus qu'un mauvais souvenir. Gros ronrons à vous deux, bisous d'Indy à Laurence.
SupprimerMa pauvre Eirwena, ce voyage a été bien éprouvant pour toi et Indy et tu méritais bien du thon pour te réconforter.
RépondreSupprimerRepose toi bien
Gros câlins, bises à Indy
Oui du thon et de beaux cadeaux. Gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerQuel bonheur de te retrouver ma jolie et douce petite Eirwena :) Quel terrible voyage, maudits oiseaux! Heureusement qu'Indy était à tes côtés pour te rassurer. Holala, le choc thermique... j'espère que tu n'en as pas souffert et Indy non plus! Vous étiez bien couvertes j'espère! Heureusement que vous avez pu sauter dans un cafard à roulettes pour vous ramener à la maison bien au chaud! Tu as pu rattraper un petit sommeil ma petite chérie? Allez, je te laisse profiter du weekend pour faire tes siestes et je t'envoie plein de câlins tout doux et un bisou pour Indy bien entendu :)
RépondreSupprimerNe t'inquiète pas Joëlle, je n'ai pas eu à souffrir du froid, je n'en ai pas eu le temps et une fois à la maison, ce ne fut que du bonheur de retrouver mon territoire, mon mobilier et la quiétude dans un foyer bien chaud. Gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerPauve petite Eirwena... ça me fait de la peine d'entendre que tu as été malade. Par contre, je suis très curieuse de savoir ce qu'il y a dans ces fameux cadeaux. Tu nous diras bientôt?
RépondreSupprimerC'est gentil Vanessa, c'est la première fois que j'ai eu le mal de l'air en avion et j'espère que cela ne se reproduira plus.
SupprimerPour les cadeaux, je vais y venir ;) Ronrons;
Quel cauchemar ce voyage...
RépondreSupprimerReposez-vous bien toutes les deux
Plein de gros câlins
Bises Indy
Annie
Merci Annie, gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerBem vindas, queridas!
RépondreSupprimerTenham um bom descanso.
beijos
Merci, bises.
SupprimerPauvre petite Puce et aussi pauvre Indy ....
RépondreSupprimerC'est sûrement les intempéries qui ont fait que les oiseaux étaient de mauvaise humeur ....
Enfin, le principal est que tout cela est derrière vous.
Je vous envoie pleins de bisous réconfortants à toutes les deux.
Chantaloup
Merci Chantaloup, je suis bien contente que cela soit fini et d'être chez moi. Gros ronrons, bises d'Indy.
SupprimerOui, ce fut terrible, heureusement que le bonheur de rentrer à la maison accompagné d'un service impeccable contribua fortement à me faire oublier ce mauvais épisode. Gros ronrons.
RépondreSupprimerDésolés pour votre retour bien mouvementé les filles . Enfin vous allez pouvoir oublier tout cela et vous reposer confortablement à l'appartement . Avec de bonnes croquettes et les miettes de thon , tu vas pouvoir vite récupérer ma belle ! Grattouilles à toi et bisous à Indy . Très contente de vous retrouver !
RépondreSupprimerOui, le retour fut pénible, mais c'est de l'histoire ancienne? Maintenant je savoure le plaisir d'être chez moi. Gros ronrons, bises d'Indy.
Supprimer